La recherche d’innovation, de nouvelles pratiques, de
performances responsables, de solutions alternatives,
motivent la filière nautique française. Fidèle à cette
tradition qui valorise le savoir-faire et l’excellence
française, la Fédération des Industries Nautiques (FIN)
organise depuis 2017, au sein du Salon nautique de Paris,
un concours national où l’innovation est récompensée,
mettant sous l’œil des projecteurs des idées à accompagner
et des business à encourager. Ce concours est donc une
opportunité exceptionnelle, au sein du plus grand
rendezvous nautique français, pour les entreprises comme
les start-ups, de mettre en valeur les nouveaux produits
et services destinés à être mis sur le marché, local comme
international. Unique en son genre, il a été pour beaucoup
de lauréats, l’occasion d’écrire les premières lignes de
belles histoires entrepreneuriales, à l’image de G&G
Boatwash, de Bluenav, de Falco ou de Temo
*
16 projets finalistes exposés du 3 au
10 décembre 2022, au cœur du Nautic de Paris
Pour cette 6ème édition, 16 projets finalistes ont été
présélectionnés, sur 64 candidatures reçues. Ces 16
projets finalistes seront exposés du 3 au 10 décembre au
sein de l’espace innovation du Salon nautique de Paris,
Hall 1, Stand B7.
Une belle représentativité de la région Bretagne, suivie
de la Nouvelle-Aquitaine et de la région Auvergne
Rhône-Alpes - Atelier Poupe (Bouches du Rhône), a
développé un réseau de collecte de vieilles défenses
usagées de bateaux, et les transforme en luminaire
étanche, unique, design et sur mesure. - Inanix
(Ille-et-Vilaine), a mis au point le drone Dronvor, 1er
drone à destination du nautisme. Seul drone étanche et
flottant, conçu spécifiquement pour la course au large, il
assure une sécurité maximale au skipper et à l’équipement
du bateau. - Inocel (Isère), a mis au point une
technologie issue d’une collaboration avec le CEA, en
développant un premier module de pile à combustible et son
système (réservoir, batteries et moteur) développé pour
des bateaux et le transport terrestre. - Genevos
(Charente-Maritime), a imaginé les Hydrogen Power Modules,
conçus spécifiquement pour les navires avec des
caractéristiques clés de modularité, de redondance, de
certification marine, de faible poids, de faible volume,
sans produire d'émissions.
*
Les Glénans (dont le siège social est à Paris), 1ère école
de voile d’Europe, a imaginé un nouveau support, à la fois
plus écologique, ludique et inclusif. Il permettra à des
lycéens de construire leur propre bateau et ainsi de
découvrir les différents métiers liés. - K-Ren (Hérault),
une société de qui propose une innovation de rupture avec
sa housse de protection antifouling sur-mesure pour les
bateaux, évitant ainsi un carénage annuel couteux,
polluant et chronophage, tout en réduisant l’usure du
bateau. - Lalou Multi (Gironde) : l’équipe a construit et
mis à l’eau le premier voilier de course au large Class 40
en composite 100% recyclable. La preuve que les bateaux
peuvent être produits avec un cycle de vie complet tout en
garantissant des performances énergétiques intéressantes.
- La SAS Madintec (Finistère), a mis au point le MAD
Foiling Concept, un système de contrôle de vol automatisé
et sécurisé. - Marine Filter (Finistère), propose un
système de modules mobiles de filtrage et de traitement
des eaux, offrant ainsi une douche mobile, autonome en eau
et en énergie, pour se rincer à l’eau douce après la
baignade. Le système en circuit fermé recycle l’eau à
volonté. - Mercury Marine (Charente-Maritime), a imaginé
un moteur électrique transportable, privilégiant la
portabilité. Il se destine aux petits bateaux, avec zéro
émission directe et un entretien minimal. - Le chantier
naval Meta (Rhône), à travers son projet Turbo Keels, a
mis au point une solution pour ballaster du plomb d’un
bord sur l’autre, pour déplacer le centre de gravité sans
passer par la complexité d’une quille pendulaire,
permettant une décarbonation du transport. - Ox Eye
(Morbihan), est une startup spécialisée dans
l'architecture navale, qui développe une innovation pour
changer la méthode de fabrication des bateaux afin de
mieux intégrer les fibres de lin, améliorer la
recyclabilité et réduire leur empreinte carbone au
maximum. - L’entreprise Périmètre (Charente-Maritime), a
élaboré un déjaunisseur de coque écoresponsable. Ils ont
mis au point une technologie de déjaunissement des «
gelcoats » avec des acides modifiés qui n’attaquent pas le
matériau et ne le rendent pas poreux. Le produit est en
outre biodégradable. - Pixel sur mer (Morbihan), un
cabinet d’ingénierie ultra-innovant spécialisé dans le
développement et l’installation de produits de haute
technologie pour la course, la voile et plus récemment
l’aviation. Leur produit en compétition est l’Exocet Gold,
une nouvelle génération de contrôle des bateaux. A
l’origine créé pour les plus grands bateaux de course, il
est aujourd’hui adapté et destiné à tous les bateaux de
dernière génération. - Rescue Zone (Bouches-du-Rhône) :
l’entreprise a imaginé l’application éponyme, à la fois
innovante techniquement (Moteurs GIS) et en termes
d’usages, puisqu’elle permet à l’ensemble des plaisanciers
de s’entraider, de se dépanner, se secourir, via une
application smartphone géolocalisée. - Et enfin Yuniboat
(Loire-Atlantique). Ils sont spécialisés dans
l’allongement de la vie des bateaux, dans une logique
éco-circulaire : acquérir des bateaux d’occasion, les
reconditionner et les remettre en location.
**
Mercury Marine (Charente-Maritime), a
imaginé un moteur électrique transportable,
privilégiant la portabilité. Il se destine aux petits
bateaux, avec zéro émission directe et un entretien
minimal. - Le chantier naval Meta (Rhône), à travers
son projet Turbo Keels, a mis au point une solution
pour ballaster du plomb d’un bord sur l’autre, pour
déplacer le centre de gravité sans passer par la
complexité d’une quille pendulaire, permettant une
décarbonation du transport. - Ox Eye (Morbihan), est
une startup spécialisée dans l'architecture navale,
qui développe une innovation pour changer la méthode
de fabrication des bateaux afin de mieux intégrer les
fibres de lin, améliorer la recyclabilité et réduire
leur empreinte carbone au maximum. - L’entreprise
Périmètre (Charente-Maritime), a élaboré un
déjaunisseur de coque écoresponsable. Ils ont mis au
point une technologie de déjaunissement des « gelcoats
» avec des acides modifiés qui n’attaquent pas le
matériau et ne le rendent pas poreux. Le produit est
en outre biodégradable. - Pixel sur mer (Morbihan), un
cabinet d’ingénierie ultra-innovant spécialisé dans le
développement et l’installation de produits de haute
technologie pour la course, la voile et plus récemment
l’aviation. Leur produit en compétition est l’Exocet
Gold, une nouvelle génération de contrôle des bateaux.
A l’origine créé pour les plus grands bateaux de
course, il est aujourd’hui adapté et destiné à tous
les bateaux de dernière génération. - Rescue Zone
(Bouches-du-Rhône) : l’entreprise a imaginé
l’application éponyme, à la fois innovante
techniquement (Moteurs GIS) et en termes d’usages,
puisqu’elle permet à l’ensemble des plaisanciers de
s’entraider, de se dépanner, se secourir, via une
application smartphone géolocalisée. - Et enfin
Yuniboat (Loire-Atlantique). Ils sont spécialisés dans
l’allongement de la vie des bateaux, dans une logique
éco-circulaire : acquérir des bateaux d’occasion, les
reconditionner et les remettre en location.
|