Comme la BMW Série
3 berline, la BMW Série 3 Touring se voit doter de nouveaux moteurs
délivrant encore plus de puissance et de vigueur que leurs devanciers
tout en étant moins gourmands en carburant. Caractérisée
par les paramètres suivants, la BMW 325i 218 ch BVM6 Touring, animée
par le nouveau six cylindres en ligne, en est le reflet : 218 ch (160 kW)
à 6 500 tr/mn, 250 Nm disponible entre 2 750 et 4 250 tr/mn, vitesse
de pointe 243 km/h, accélération de 0 à 100 km/h en
7,2 secondes, reprise de 80 à 120 km/h en 7,9 secondes. Pour une
consommation de 8,6 litres selon le cycle européen.
Ces performances s'expliquent par le gain de puissance du six cylindres
en ligne de 26 ch (19 kW ) ainsi que par des mesures d'allègement.
Ainsi, le 3 litres, premier moteur de série à faire appel
au magnésium pour le carter moteur, le logement du vilebrequin et
le cache-culasse, est le six cylindres le plus léger au monde.
La BMW 320d 163 ch BVM6 Touring séduit, elle aussi, par d'excellentes
performances routières. Elle atteint une vitesse de pointe de 223
km/h et parcourt le 0 à 100 km/h en 8,6 secondes. Pour passer de
80 à 120 km/h, la BMW 320d Touring se contente de 7,1 secondes.
Délivrant une puissance de 163 ch (120 kW ) à 4 000 tr/mn
ainsi qu'un couple de 340 Nm à 2 000 tr/mn pour une consommation
de 5,9 litres aux 100 km selon le cycle européen, le quatre cylindres
diesel prisé incarne, lui aussi, le dynamisme efficace. Un filtre
à particules est disponible en option.
La nouvelle BMW série 3 Touring est dotée en série
d'une boîte manuelle à six rapports ; une boîte automatique
à six rapports est proposée en option. Avec le rapport supplémentaire,
l'étagement dans l'ensemble plus serré et la plage de démultiplication
plus importante entre le plus petit et le plus grand rapport, le conducteur
peut adapter les changements de vitesse de manière optimale au régime
de passage. Ce qui a surtout un effet au démarrage, car le premier
rapport est démultiplié pour assurer une traction plus élevée.
D'autres motorisations.
Les versions Touring des BMW 330i 258 ch, BMW 320i 150 ch et BMW 330d
231 ch arriveront également à l'automne 2005.
Elles présenteront les performances suivantes :
BMW 330i 258 ch BVM6 Touring : 258 ch (190 kW ) à 6 600 tr/mn,
300 Nm entre 2 500 et 4 000 tr/mn.
BMW 320i 150 ch BVM6 Touring : 150 ch (110 kW ) à 6 200 tr/mn,
200 Nm à 3 600 tr/mn.
BMW 330d 231 ch BVM6 Touring : 231 ch (170 kW ) à 4 000 tr/mn,
500 Nm entre 1 750 et 3 000 tr/mn.
Originale et ambitieuse de par son style.
Pour sa quatrième génération, la BMW Série
3 Touring a fait, pour la première fois, l'objet d'un développement
autonome, réalisé en parallèle à la berline.
C'est là la clé de son style convaincant qui ne lui confère
pas seulement un «visage» original dans le monde automobile,
mais lui assure de plus une allure résolument sportive.
Silhouette sportive évoquant celle d'un coupé.
Alors que toute la partie avant du Touring jusqu?au montant avant correspond
pour l'essentiel à la berline, la partie arrière de l'habitacle
et le compartiment à bagages se fondent harmonieusement dans une
silhouette sportive évoquant presque celle d'un coupé. Les
surfaces vitrées latérales assument un rôle esthétique
déterminant dans ce contexte : la ligne du toit plongeant doucement
vers le hayon, alors que la ligne «scapulaire» est au contraire
légèrement ascendante, les surfaces vitrées paraissent
petites comme sur un coupé. Le large montant de custode dirige le
regard de l'observateur vers l'essieu arrière et visualise ainsi
la propulsion.
Généreux : le Touring a aussi grandi à l'intérieur.
Si, de par son allure et ses performances, la BMW Série 3 Touring
se présente comme une BMW typique, puissante, sportive et compacte,
elle impressionne en même temps par une générosité
surprenante : en effet, ses dimensions accrues en longueur (4520 mm, +42
mm par rapport à la devancière), en largeur (1817, +78) et
en hauteur (1418, +9) ainsi que l'empattement plus long (2760 mm, +35)
bénéficient d'une même manière aux occupants
avant et aux passagers arrière. Le compartiment à bagages
a grandi de 25 litres pour offrir un volume de 460 litres. Lorsque le dossier
de la banquette arrière, fractionnable dans un rapport de 60/40,
est rabattu, le Touring peut loger des bagages d'un volume de 1385 litres
sur un plancher à surface quasiment plane.
Des dotations innovantes améliorant encore l'utilité
pratique au quotidien.
Mais il y a plus important que le simple volume et c'est ainsi que
le Touring propose de nombreuses innovations augmentant sensiblement son
utilité pratique au quotidien : à l'ouverture de la lunette
arrière, qui peut d'ailleurs s'ouvrir séparément,
le cache-bagages se soulève automatiquement pour faciliter le chargement.
La suppression de la roue de secours : la BMW Série 3 évolue
sur des pneus antidéjantage du type RSC permettant le roulage à
plat : cet équipement profite tant à l'allègement
qu'au volume de chargement, sous forme d'un compartiment supplémentaire
sous le plancher de chargement. En option, ce dernier est réversible
: sur une face, il offre des oeillets d'arrimage permettant de bien fixer
des objets lourds, sur l'autre, il comporte une bâche en matière
plastique que l'on peut tirer sur le revêtement du coffre ainsi que
le pare-chocs pour éviter l'encrassement et les rayures. De plus,
une boîte pliante étanche est logée sous le plancher
de chargement ; elle permet par exemple de tranporter des bottes mouillées
sans encrasser le coffre.
Les familles se réjouiront de l'arrivée du nouveau
Touring.
L'amour du détail se révèle aussi à l'arrière
: les stores pare-soleil sur les vitres arrière latérales
sont tout aussi inhabituels dans ce segment automobile que la climatisation
à réglages séparés conducteur/passager.
Pour la première fois, la BMW Série 3 offre la possibilité
d'emmener en toute sécurité trois enfants dans des sièges
enfants installés au moyen de fixations Isofix sur le siège
du passager avant et les deux sièges arrière extérieurs.
L'airbag passager peut être désactivé pour permettre
aussi l'installation d'un siège dos à la route pour bébés.
Avec le toit panoramique disponible en option, le Touring distille
des sensations de cabriolet.
La polyvalence proverbiale de la BMW Série 3 Touring ne s'exprime
pas seulement par ses côtés pratiques, mais aussi par ses
côtés agréables : avec le toit panoramique, le break
se transforme presque en un cabriolet : mesurant un demi mètre de
plus qu'un toit ouvrant conventionnel, il laisse entrer jusqu'à
60 pour cent d'air frais de plus. D'une longueur de 800 millimètres
pour une largeur de 745 millimètres, il crée de véritables
sensations cabriolet.
Plaisir de conduire et sécurité du plus haut niveau.
Mais la BMW Série 3 Touring ne séduit bien évidemment
pas que par sa grande utilité au quotidien. Elle est aussi une voiture
hautement dynamique. La répartition des charges sur essieux de près
de 50/50, la propulsion, le long empattement et les porte-à-faux
réduits à l'avant et à l'arrière offrent des
conditions idéales pour un maximum d'agilité et de sécurité
de conduite.
Ainsi, l'essieu avant à articulation double en aluminium développée
pour la BMW Série 3 berline crée bien sûr aussi un
équilibre optimal entre dynamisme et confort sur le Touring. Il
assure une stabilité directionnelle élevée et contient
les bruits de roulement à un niveau particulièrement bas.
L'essieu arrière à cinq bras, une construction allégée
en acier, est le gage d'une agilité maximale et d'une maniabilité
sportive. Il assure un guidage précis des roues ainsi qu'un excellent
confort de roulement.
Direction active : sans pareille dans cette catégorie.
Sur les modèles à six cylindres, la direction active
BMW est disponible en option. Cette direction présente une démultiplication
plus directe à basse vitesse et plus indirecte à vitesse
élevée et résout ainsi de manière idéale
l'antagonisme entre agilité, stabilité et confort, dans lequel
les directions classiques sont prises. Comme sur la BMW Série 3
berline , elle s'est vue enrichir de deux fonctionnalités importantes
: en cas de freinage sur un revêtement présentant un coefficient
d'adhérence asymétrique, elle intervient activement et stabilise
ainsi la voiture plus rapidement et avec plus de précision que l'automobiliste
moyen ne saurait le faire. En cas de survirage, la direction active contrebraque
automatiquement. La conduite s'en trouve facilitée, la voiture est
plus sûre et plus agile, les interventions sur les freins et sur
la gestion moteur étant moins nombreuses.
Le DSC nouvelle génération.
L'aide à la conduite DSC (contrôle dynamique de la stabilité)
de la toute dernière génération veille également
à la sécurité. Sur les modèles à six
cylindres, le DSC a de plus reçu des fonctionnalités aussi
utiles que la fonction «frein sec» qui élimine la pellicule
d'eau des disques sur route mouillée, ou bien la fonction «pré-freinage»
qui rapproche les plaquettes des disques. De plus, il est désormais
évité que la voiture ne recule au démarrage en côte
et qu'elle ne plonge de l'avant en cas de freinage lent.